Créé en 1983,
ce centre de documentation des cultures lesbiennes
témoigne des mouvements et groupes lesbiens, féministes et homosexuels.
Il s’enrichit sans cesse grâce aux abonnements et échanges,
aux achats de livres, aux dons de documents anciens et récents.
Nos mémoires, nos histoires sont précieuses et nous avons besoin de votre participation pour préserver et enrichir encore nos collections.
Votre soutien est essentiel et permettra aux Archives, Recherches, Cultures Lesbiennes de poursuivre leurs missions de collectage, conservation et valorisation de leurs fonds et archives.
Nous avons mis au point un questionnaire d’accueil qui nous permet d’en savoir plus sur vos besoins / intérêts / recherches afin de préparer au mieux votre visite. Merci de bien vouloir le remplir avant de nous écrire pour convenir d’un rendez-vous. https://forms.gle/ZpZdajQmg5xGDroF8
Les Archives, Recherches, Cultures Lesbiennes seront présentes au festival « Les corps lesbiens » qui se déroulera les 3, 4 et 5 mars prochain à La Parole Errante (Montreuil).
Le festival accueillera notamment une grande rétrospective des œuvres de l’artiste Noëlle Akoa – qui a confié une partie de ses fonds aux ARCL – et qui co-animera avec Michèle Larrouy une table ronde sur les créations lesbiennes.
Nous serons présentes durant toute la durée du festival, n’hésitez pas à venir nous rencontrer !
Le Collectif Lesbihonest s’associe avec les Archives Lesbiennes pour vous concocter trois jours de manifestation culturelle à la gloire des dykes.
Structure émergente, Lesbihonest est un collectif composé d’ami.e.s, d’amant.e.s, d’ex.e.s et de queeros qui se retrouvent autour de la volonté de rendre visible la création gouine et de promouvoir la culture lesbienne. Les Archives Lesbiennes quant à elles, bien implantées depuis 1983, ont pour désir de raconter un lieu matériel, temporel, symbolique et vivant tout en racontant les lesbiennes qui le font vivre.
Festival inter-générationnel, l’envie commun est de dessiner au présent le vécu lesbien d’hier et celui qui se vit aujourd’hui. Mais surtout : de fêter nos existences et nos représentations.
Evolution de la programmation à suivre sur les réseaux du festival.